Paul Éluard. Le coeur absolu : Étude de Capitale de la douleur (1926)

Souhaitant affranchir le nom d'Éluard des lieux communs du sentimentalisme, cette étude de Capitale de la douleur (1926) se veut attentive au cœur absolu du poème. Dans l'espace de la page s'opère une transmutation de l'expérience par la figuration d'un « je » universel...

Full description

Saved in:
Bibliographic Details
Main Author: Corinne Bayle (auth)
Format: Electronic Book Chapter
Published: Presses universitaires de Rouen et du Havre 2013
Subjects:
Online Access:DOAB: download the publication
DOAB: description of the publication
Tags: Add Tag
No Tags, Be the first to tag this record!

MARC

LEADER 00000naaaa2200000uu 4500
001 doab_20_500_12854_55834
005 20210211
003 oapen
006 m o d
007 cr|mn|---annan
008 20210211s2013 xx |||||o ||| 0|fra d
020 |a books.purh.5581 
020 |a 9791024011318 
040 |a oapen  |c oapen 
024 7 |a 10.4000/books.purh.5581  |c doi 
041 0 |a fra 
042 |a dc 
100 1 |a Corinne Bayle  |4 auth 
245 1 0 |a Paul Éluard. Le coeur absolu : Étude de Capitale de la douleur (1926) 
260 |b Presses universitaires de Rouen et du Havre  |c 2013 
336 |a text  |b txt  |2 rdacontent 
337 |a computer  |b c  |2 rdamedia 
338 |a online resource  |b cr  |2 rdacarrier 
506 0 |a Open Access  |2 star  |f Unrestricted online access 
520 |a Souhaitant affranchir le nom d'Éluard des lieux communs du sentimentalisme, cette étude de Capitale de la douleur (1926) se veut attentive au cœur absolu du poème. Dans l'espace de la page s'opère une transmutation de l'expérience par la figuration d'un « je » universel qui redistribue les affects en chant impersonnel. De dada au surréalisme, le recueil s'inscrit en une époque de révolutions esthétiques, tout en conservant la mémoire vive de la poésie. Il invente ses propres modèles, regardant vers les tableaux et les collages, les rêves et les proverbes, à la lumière d'un lyrisme neuf. En une position éthique, le poète forme le vœu de partager « les débris de toutes [s]es merveilles » qui sont autant de fragments de réel. Le sourire triste ne fait pas écrire : c'est la force de se vouloir vivant parmi les vivants qui fait battre ici les poèmes. 
540 |a All rights reserved  |4 http://oapen.org/content/about-rights 
546 |a French 
653 |a poésie 
856 4 0 |a www.oapen.org  |u http://books.openedition.org/purh/5581  |7 0  |z DOAB: download the publication 
856 4 0 |a www.oapen.org  |u https://directory.doabooks.org/handle/20.500.12854/55834  |7 0  |z DOAB: description of the publication